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Quelques bases utiles sur l’énergie avant de considérer des choix énergétiques à moyen ou long terme.

Un anniversaire improbable… Liens entre art, religion et science dans l'Europe du Moyen-Âge à la Renaissance.

Connaitre les besoins et ressources en matières premières, poursuivre les transitions énergétiques et numériques avec leurs besoins spécifiques, en s'appuyant sur une modélisation dynamique.

Les cycles de la vie et de la matière non compris (oxygène, carbone) et les erreurs propagées à propos des graves incendies en Amazonie : pas de manque d'oxygène, mais relargage de gaz à effet de serre…

Marbre, granite, serpentinite... un aperçu géologique d'une visite artistico-historico-géologique des basiliques majeures de Rome (Saint Jean de Latran et Saint Pierre de Rome).

Les marqueurs et outils d'observations des variations climatiques terrestres à plusieurs échelles de temps, de l'échelle de l'âge de la Terre à celle d'une vie humaine.

Contribution du groupe de travail I au 5e Rapport d'évaluation du GIEC. Résumé à l'intention des décideurs.

Renoncer à un modèle écologique devant permettre de conserver le niveau de civilisation atteint en diminuant considérablement la consommation de ressources naturelles. Vers une utopie de la modernité réduite qui, en économisant les ressources, permet d’accéder à une nouvelle qualité de vie sur le plan écologique et social.

Un volcan de boue urbain sur l'île de Java : débats d'experts à portée scientifique, économique, sociétale et environnementale.

Tremblement de terre au Japon : séisme, tsunami et risques annexes.

Conjonction vent, dépression, vives eaux, équinoxe, hausse du niveau des océans... et anthropisation inconsciente sur des terres inondables : caractère hautement prévisible des inondations et de la gravité des dégâts liés à la tempête des 27-28 février 2010.

Avis et aide à la lecture d'un livre atypique.

Présentation d'un indicateur de bien-être durable basé sur l'espérance de vie, l'empreinte écologique et le degré de satisfaction de vie.

Moteur de l'évolution, la sélection naturelle entraîne la survie du plus apte. De là à penser qu'elle implique forcément un progrès, il y a un pas que beaucoup franchissent. À tort ! Car la sélection naturelle favorise parfois des caractères désavantageux. Il faut également mettre au panier une autre idée reçue, héritée de la vision aristotélicienne qui plaçait l'homme au sommet de l'échelle du vivant.

Faute d'orthographe liée à la domination des sciences de la vie sur les sciences de la Terre dans le fond culturel collectif.

Compte-rendu d'une conférence d'Albert Jacquard à l'ENS de Lyon.

À propos du travail du groupe de scientifiques du GIEC (IPCC) et les changements climatiques.